Podcast

Courir avec l’âge [Durée 9km@7:30] – S03E31

Dans cet épisode, Bill et Isa abordent un sujet qui touche de plus en plus de coureurs : la course à pied chez les personnes plus âgées. Bien que l’effort intense puisse contribuer au vieillissement du corps à travers l’oxydation, est-ce assez dommageable pour qu’on se limite en vieillissant ? Pour faire court, disons que plutôt que d’arrêter la course, il vaut mieux adapter ses habitudes et ses objectifs !

Le cœur de l’épisode s’attarde sur cette question. Avec l’exemple inspirant de Fauja Singh, qui a commencé à courir à l’âge de 88 ans et a complété le marathon de Toronto à 100 ans, il est clair qu’il n’y a pas d’âge pour se lancer dans la course. Quant à Ed Whitlock, il a montré que même après 70 ans, il est possible d’accomplir des performances exceptionnelles. À 72 ans, il est devenu le premier septuagénaire à boucler un marathon en moins de 3 heures, ce qui, ajusté pour l’âge, équivaut à courir un marathon en 2h04 ! Des performances qui défient le temps et prouvent que l’âge est souvent davantage un état d’esprit qu’une limite physique.

Au-delà des exploits, courir régulièrement offre de nombreux bienfaits pour les personnes plus âgées. L’équipe discute des effets positifs sur la santé cardiovasculaire, la densité osseuse et la prévention des maladies cognitives. Courir aide à conserver la masse musculaire et à maintenir une bonne mobilité, deux aspects cruciaux pour prévenir les chutes et les blessures courantes avec l’âge.

Cependant, la performance n’est pas tout. Avec l’âge, il est essentiel d’ajuster les objectifs et les méthodes d’entraînement. Une récupération plus longue, une attention accrue aux signes de fatigue et des exercices de renforcement musculaire sont d’autant plus importants.

L’épisode rappelle que la course à pied peut être une activité bénéfique, quel que soit l’âge, à condition de l’aborder de manière sécuritaire et réfléchie. Alors, que vous soyez un coureur d’expérience ou que vous envisagiez de commencer tardivement, il n’est jamais trop tard pour mettre ses souliers et se lancer sur les routes !

Sur ce, Bonne course !

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La 1ère plug de Étienne ➤ Bravo à sa blonde qui organise la 4e édition de la course du quartier du lac bromont

La 2e plug de Étienne ➤ Appui à son amie qui recommence la course après blessure.

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La backyard de Coach Franck [Durée 9km@6:20] – S03E30

Dans cet épisode spécial, vos trois coachs sont réunis ensemble pour jaser avec Franck de sa participation à une course « Backyard Ultra ».
Pour ceux qui ne sont pas familiers avec le concept, il s’agit d’une course où les participants doivent courir un peu plus de 6,7 km chaque heure, jusqu’à ce qu’il ne reste plus qu’un seul coureur. Le lendemain de cette épreuve intense, Franck partage ses impressions, ses défis, et les enseignements qu’il tire de cette expérience unique.

Franck a également souligné l’importance de la stratégie dans une backyard. « Il faut savoir se préserver, » dit-il, expliquant qu’il a ajusté son rythme dès le départ pour éviter de brûler trop d’énergie.
Ce genre de course pousse les athlètes à gérer leur effort sur la durée et à comprendre leur propre seuil de tolérance à la fatigue. Il décrit cette compétition comme un défi qui va bien au-delà des simples performances
physiques. « C’est vraiment dans la tête que ça se joue », affirme-t-il en revenant sur les moments difficiles de la course. Il partage comment, au fil des heures, les participants luttent contre l’épuisement, non seulement du
corps, mais aussi de l’esprit. La discipline est clé : repartir pour une nouvelle boucle à chaque fois, malgré la fatigue accumulée, demande une résilience incroyable.

Durant l’interview, il a aussi évoqué l’aspect communautaire de la backyard. Chaque coureur soutient l’autre, mais à la fin, c’est bien un seul qui l’emporte. Franck, avec humilité, se dit surtout reconnaissant d’avoir
pu tester ses limites tout en étant entouré d’une communauté de passionnés.

L’interview se conclut sur une note positive : bien qu’épuisé, Franck exprime sa gratitude pour avoir participé à une telle course, et il partage quelques conseils pratiques sur la préparation et la gestion de
ce type de défi extrême.

Sur ce, Bonne course !

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La 1ère plug de Franck ➤ Craft Sports Canada – https://craftsports.ca/

La 2e plug de Franck ➤ Upika – https://upika.ca/

📖 Autres références

➤ Circuit Big Wolf’s Backyard
Ultra
https://www.bigwolfsbackyardultra.ca/en/outaouais/

➤ Barres de fruits
– xactnutrition
https://www.xactnutrition.com/fr/collections/fruit-bars

➤ Upika Podcast | Podcast on Spotify – https://open.spotify.com/show/2asnV1adtFbgb1o6r7xeFh

🎧 Pour écouter en version
audio, balado, podcast, YouTube ➤ https://coureur.io/link/69

📝 Notes complètes de
l’épisode ➤ https://coureur.io/69

De la malbouffe au marathon [Durée 9km@6:20] – S03E29

Bill ouvre cet épisode en partageant son expérience personnelle de course à pied, marquant bientôt ses 10 ans dans l’univers de la course. Avec une note d’humour, il raconte ses débuts modestes. Enfant, Bill n’était pas sportif. Il se souvient de son désintérêt total pour la course. À l’époque, son alimentation était loin d’être idéale, avec un frigo rempli de cochonneries. 

Adolescent, il diversifie ses activités physiques avec le badminton et les rollerblades, mais l’alimentation reste un problème. Manger ses émotions, sauter le déjeuner et se nourrir de gaufres trop sucrées sont des habitudes bien ancrées. Ce n’est qu’à l’âge adulte, durant le cégep, qu’il commence à prendre conscience de l’importance d’une alimentation plus équilibrée, sans pour autant changer ses habitudes.

C’est dans la vingtaine que Bill adopte un mode de vie plus sain. Le rollerblade et le volleyball deviennent de nouvelles activités, mais surtout, il s’intéresse enfin à l’importance de l’alimentation. Il réalise qu’avant de se soucier des suppléments et du timing des repas, il faut d’abord se concentrer sur les portions et la qualité des aliments. Ce n’est pas parce que des athlètes prennent des gels spécialisés que cela devient nécessaire pour tout le monde. Bill encourage plutôt une alimentation soutenable et agréable.

En 2015, Bill commence sérieusement la course, mais une hernie discale en 2017 vient interrompre son parcours. Le retour est difficile car il se concentre trop sur la performance. C’est avec le temps que le plaisir de courir revient. Le coaching, selon lui, ajoute une dimension encore plus enrichissante, celle de transmettre ses connaissances et son expérience, tout en se nourrissant du progrès des autres.

Avec la course, Bill gère mieux son stress. Quand il n’a pas le temps de courir, c’est souvent le signe qu’il doit courir. Son approche de la performance influence aussi son regard sur l’alimentation, renforçant son envie de mieux faire.

Sur ce, bonne course !

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La plug de Coach Bill ➤ Paquet de 10 bouchées de poulet – fabriqués à partir d’ingrédients naturels – Fresh Additions – https://freshadditions.ca/fr/nos-produits/bouchees-de-poulet/

📖 Autres références

Coureur.IO (coureurio.myspreadshop.ca)https://coureurio.myspreadshop.ca/all?lang=fr

Bruno Marchand et le pouvoir de la course (radio-canada.ca) – https://ici.radio-canada.ca/ohdio/balados/5614/grand-ecart-wauthier-entrainement-forme/629136/maire-quebec-soulier

Dojos | Fédération Aikibudo Québec (aikibudoquebec.org) – https://www.aikibudoquebec.org/dojos/

🎧 Pour écouter en version audio, balado, podcast, YouTube ➤ https://coureur.io/link/68

📝 Notes complètes de l’épisode ➤ https://coureur.io/68

Qu’est-ce que ça mange un coureur ? [Durée 10km@5:30] – S03E28

Dans cet épisode, nous discutons d’un sujet central pour les coureurs : l’alimentation. Entre la nécessité de consommer suffisamment de nutriments pour soutenir l’entraînement et la facilité de surconsommer, il est parfois difficile de trouver le bon équilibre. Alors, que faut-il manger avant, pendant et après l’entraînement ?

Avant l’entraînement

L’alimentation avant une séance dépend de la durée et de l’intensité de l’effort. Pour un entraînement de moins de 60 minutes, une petite collation comme une banane ou un yaourt 30 minutes avant suffit. Pour une séance plus longue (60 à 90 minutes), privilégiez des glucides complexes et des protéines, comme du gruau avec des fruits ou un toast au beurre d’arachide. Pour des entraînements de plus de 90 minutes, optez pour un repas complet 2 à 3 heures avant, incluant des pâtes complètes, des légumes, et des protéines maigres.

Pendant l’entraînement

Manger pendant l’entraînement n’est nécessaire que pour des séances de plus de 90 minutes. Pour des efforts longs ou intenses, consommer des glucides sous forme de gels, barres énergétiques ou fruits secs permet de maintenir l’énergie. Buvez régulièrement pour rester hydraté.

Après l’entraînement

Après une séance, l’objectif est de reconstituer les réserves de glycogène, réparer les muscles et réhydrater le corps. Idéalement, mangez dans les 30 minutes suivant l’effort. Une collation composée de glucides et de protéines dans un ratio de 3:1 est recommandée, par exemple un smoothie ou du lait au chocolat. Même si l’appétit n’est pas toujours au rendez-vous après un effort intense, consommer des calories liquides peut être une bonne solution pour refaire les réserves.

En conclusion, une bonne alimentation avant, pendant et après l’entraînement est essentielle pour optimiser les performances et la récupération. Testez différentes stratégies pour trouver ce qui fonctionne le mieux pour vous !

Sur ce, Bonne course !

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📖 Références

HOLOS Muesli bio à préparer la veillehttps://www.liveholos.com/fr

Barres de fruits – xactnutrition – https://www.xactnutrition.com/fr/collections/fruit-bars

Energy Drink Mix | Neutral – Bag – Näak NA – https://www.naak.com/products/energy-drink-mix-neutral-1-bag-4-00-serving?variant=48731849163056

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Quoi tirer de son test de VO2max? [18km au pace de Coach Isa] – S03E27

Dans cet épisode, nous revenons sur notre participation au Défi de la Tortue, où nous avons tous les trois couru. C’était une belle journée avec Jonathan comme photographe officiel. Merci aussi à Élyse, qui a écouté tout notre catalogue, un épisode à la fois !

Aujourd’hui, nous discutons des mesures de VO2max et de leur pertinence pour les coureurs. Bill a récemment testé sa VO2max à 58 avec sa montre Garmin, mais un test en laboratoire a révélé une mesure de 60. Quelques semaines plus tard, après de mauvaises nuits de sommeil, Garmin indiquait une baisse à 54. Ces fluctuations nous amènent à questionner la fiabilité des équipements et des protocoles utilisés pour mesurer le VO2max. Pour Isa, elle n’a pas de mesure par une montre, mais le test en labo a révélé une VO2max de 55.

Il est essentiel de comprendre que le VO2max n’est pas le seul indicateur de performance en course à pied. Des facteurs comme le poids corporel et l’efficacité mécanique influencent aussi les capacités d’un coureur.

Même sans capteur de puissance, ces mesures peuvent orienter les entraînements. Travailler son efficacité musculaire et squelettique peut faire toute la différence. Les exercices pliométriques comme le saut vertical ou la chute depuis un banc de 10-15 cm permettent de tester la puissance des membres inférieurs. En complément, l’entraînement en état de fatigue, comme des séries de 6 minutes à intensité élevée suivies de 20-30 minutes à rythme soutenu, aide à développer cette endurance musculaire essentielle.

On évoque aussi l’entraînement à jeun pour favoriser l’oxydation des lipides, notamment à 60-80% de l’intensité maximale, ainsi que l’importance du cycle menstruel dans la planification des séances pour les athlètes féminines. En conclusion, au-delà des chiffres, il s’agit de comprendre comment votre corps fonctionne et de toujours chercher à optimiser votre rendement, un pas à la fois.

Sur ce, Bonne course !

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La plug de Maxime ➤ Podcast de Dr Kin – https://drkin.com/balado/

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📝 Notes complètes de l’épisode ➤ https://coureur.io/66

Courir en pleine conscience [Durée distance satisfaisante] – S03E26

Dans cet épisode, je partage une réflexion sur l’égo et son impact sur la vie, notamment dans le sport. Pendant longtemps, j’ai associé l’égo à l’image caricaturale d’une personne arrogante et bruyante, cherchant constamment l’attention. Mais en réalité, mon propre égo se cachait derrière cette vision, me faisant croire que je n’étais pas concernée.

Il y a quelques mois, j’ai enfin confronté mon égo. Contrairement à l’image que je m’étais formée, il ne ressemblait pas à un vantard bruyant, mais plutôt à un « gros bébé-lala », peureux, jaloux, et toujours prêt à rejeter la faute sur les autres pour justifier ses insécurités. Cet égo craint de ne pas être à la hauteur et cherche constamment à m’éviter la honte. Une fois que j’ai réalisé que mon égo n’était qu’une façade pour dissimuler ma peur de l’échec, cette illusion s’est dissipée, me laissant avec une vérité plus apaisante : je suis suffisante telle que je suis, sans avoir à prouver quoi que ce soit à qui que ce soit.

Dans l’épisode d’aujourd’hui, nous allons explorer comment démasquer cet égo sournois, surtout dans le contexte sportif. Nous discuterons des signes révélateurs de l’égo, comme ces pensées autocritiques qui surgissent quand on doute de soi-même. En tant que coach, j’encourage mes athlètes à reconnaître ces discours internes, à être conscients de la façon dont l’égo se manifeste physiquement, comme en fixant le sol pendant une course.

Pour mieux comprendre comment surmonter l’égo, nous allons parler de pleine conscience avec notre invité, Simon Poulin. La pleine conscience, contrairement à la simple méditation, implique une attention active à l’instant présent. Dans la course à pied, cela signifie être attentif à chaque foulée, à sa respiration, et aux sensations du corps. En courant de manière consciente, non seulement on améliore sa performance et prévient les blessures, mais on apprend aussi à gérer le stress et à apprécier chaque moment, au lieu de se focaliser uniquement sur le résultat final. Cette approche peut transformer votre course, et peut-être même votre vie.

Sur ce, Bonne course !

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La plug de Simon Communication Pleine Conscience – http://www.communicationpleineconscience.net/

🎧 Pour écouter en version audio, balado, podcast, YouTube ➤ https://coureur.io/link/65

📝 Notes complètes de l’épisode ➤ https://coureur.io/65

Choisir la course à pied [Durée 7km@6:00] – S03E25

Dans cet épisode solo, je me lance dans une réflexion personnelle sur la course à pied et ce qu’elle m’a apporté au fil des années. Tout a commencé avec une prise de conscience, grâce à un ami qui m’a avoué qu’il n’osait pas faire d’activités seul, comme si elles n’avaient pas de valeur sans être partagées. Cela m’a fait réaliser que moi aussi, j’avais tendance à éviter certaines activités si je n’avais personne avec qui les partager, pensant qu’elles perdraient de leur importance.

En repensant à cette conversation, je me suis demandé pourquoi je me suis accrochée à la course à pied, une activité souvent solitaire. C’est vrai, la course à pied a un aspect individuel, mais c’est précisément cela qui m’a séduite. L’idée d’être mon propre moyen de transport, le sentiment de liberté que procure chaque foulée, et le défi constant de repousser mes limites m’ont captivée. À mesure que je progressais, passant de 5 km à 42 km, j’ai découvert que la course à pied était plus qu’un simple exercice; c’était un mode de vie.

Mais pourquoi persévérer malgré les blessures et les obstacles? Pour moi, c’est une question de sortir de ma zone de confort, de résoudre ce « casse-tête » qu’est la course, et de répondre à un besoin profond d’être à l’extérieur. La course m’a aussi apporté un réseau social précieux et un mode de vie plus sain, notamment depuis que j’ai arrêté de fumer en janvier 2023. 

Le plus important est ce que la course a fait pour mon mental. J’ai appris à déjouer mes pensées négatives, à affronter mes inquiétudes et à comprendre que le voyage est souvent plus important que la destination. Aujourd’hui, bien que j’aie toujours des objectifs, l’essentiel est que je cours parce que cela me réalise.

Je cours jusqu’à ce que, peut-être un jour, je me réveille en me demandant : « Est-ce que c’est encore ce que je choisis aujourd’hui? » Pour l’instant, la réponse est un oui retentissant.

Sur ce, bonne course !

Un plan de course, ça sert à quoi ? [Durée 7km@7:15] – S03E24

Dans cet épisode, nous avons décidé de nous attaquer à un sujet crucial mais souvent négligé : l’importance d’un plan d’entraînement en course à pied. Après avoir souvent discuté de coaching, d’outils technologiques et de montres, il était temps de plonger dans l’essence même de la préparation : le plan. Bill a ouvert l’épisode en partageant ses récentes courses sous le soleil de Puerto Plata, et après quelques échanges légers sur des anecdotes d’auditeurs et des retours encourageants, nous avons abordé le sujet principal.

Un plan d’entraînement, c’est bien plus qu’un simple calendrier. C’est un outil puissant pour générer de l’engagement et structurer ses séances de course. Il permet de prévoir ses entraînements, d’éviter l’improvisation, et de s’assurer que chaque course contribue à un objectif global. Mais à quel moment est-il vraiment nécessaire de suivre un plan ? Les périodes critiques, comme la préparation à un événement important, nécessitent une planification rigoureuse pour optimiser les performances et minimiser les risques de blessures.

Nous avons aussi discuté des différents outils disponibles pour suivre son plan, qu’il s’agisse de montres, d’applications ou de plateformes en ligne. Ces outils ne sont pas seulement pratiques pour suivre les progrès, ils facilitent aussi la communication avec un coach ou permettent de s’auto-évaluer en temps réel.

La gestion de la charge d’entraînement est un autre aspect essentiel d’un plan bien conçu. Il s’agit de progresser de manière soutenable, en équilibrant les différents types d’entraînements comme les courses longues et lentes, les intervalles, et les sessions de récupération. La fixation d’objectifs clairs et la planification à rebours sont cruciales pour s’assurer d’arriver prêt le jour J.

Enfin, pour ceux qui préfèrent « pas de plan », nous avons abordé comment courir de manière sécuritaire. Même sans suivre un plan rigide, il est important de rester à l’écoute de son corps, de varier les entraînements, et de ne pas négliger la récupération.

Cet épisode offre une réflexion approfondie sur l’importance de la planification dans la course à pied, et sur la manière dont elle peut transformer non seulement vos performances, mais aussi votre expérience de coureur.

Sur ce, Bonne course !

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La plug de Coach Bill ➤ Son ami Pierre et son futur balado sur le vélo de montagne

La plug de Coach Isa ➤ Ses caméras de surveillance

📖 Autres références

➤ Livre : Courir Mieux | Jean-François Harvey – https://www.jeanfrancoisharvey.com/courirmieux

🎧 Pour écouter en version audio, balado, podcast, YouTube ➤ https://coureur.io/link/63

📝 Notes complètes de l’épisode ➤ https://coureur.io/63

Le fameux Défi des Demois’Ailes [Durée 100km au pace des Demois’Ailes] – S03E23

Tant attendu, le défi des demois’ailes édition 2024 qui consiste à réaliser une course à pied à relais à travers La Mauricie est maintenant derrière nous. 

L’objectif était de courir par petite équipe, à raison de 10 km à chaque sortie, de jour, de soir et de nuit, beau temps, mauvais temps. Chacune des Demois’ailes devait courir l’équivalent d’un peu plus de deux marathons sur une période de 4 jours, soit environ 100 km. Plusieurs femmes inspirantes de la région représentent différents groupes d’âge, divers milieux de vie, mais qui ont en commun un seul but : réaliser ce défi afin d’amasser des fonds pour les maisons d’hébergement pour femmes et enfants victimes de violence conjugale.

Au cours de cet épisode, vous nous entendrez coach Bill et moi (Coach Isa) parler de notre expérience, ainsi que quelques demois’ailes qui ont croisé notre micro au bon moment. Nous avons essayé de vous transmettre le plus concrètement possible la couleur et l’ampleur de ce défi, les enjeux et les réussites, et tout particulièrement les moments de bonheur intense que nous avons vécu tout au long de ce week-end. Finalement, nous avons enregistré post défi pour faire un retour à tête reposé sur notre expérience, vous partageant nos bons coups, nos fiertés, ce qui nous a touché.

Sur ce, Bonne course !

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La plug de Coach Bill ➤ Course Endorphine TR – https://inscriptions.sportchrono.com/inscriptions/endorphine-trois-rivieres

La plug de Coach Isa ➤ Les Demois’Ailes – https://defi-des-demoisailes.com/

🎧 Pour écouter en version audio, balado, podcast, YouTube ➤ https://coureur.io/link/62
📝 Notes complètes de l’épisode ➤ https://coureur.io/62

Jacynthe, la coureuse kétozen Partie 2 [Durée 12km@6:00] – S03E22

Pour donner suite à notre épisode avec Jacynthe Côté, la marathonienne kétozen, Coach Isa s’est entretenue avec elle pour approfondir les concepts entourant ce type d’alimentation. Jacynthe, qui pratique la course depuis 16 ans, a participé à diverses compétitions, allant des 10 km aux marathons, tout ça avec une alimentation cétogène.

L’objectif étant d’atteindre l’état de cétose, dont les principaux avantages incluent une énergie stable sans les fluctuations typiques des régimes riches en glucides, une transformation corporelle avec une réduction de la masse grasse, et une diminution des douleurs musculaires et des blessures. Jacynthe a également souligné l’amélioration de la qualité de son sommeil, facilitant une meilleure récupération après les entraînements.

Dans cet épisode, nous voyons plus en profondeur ce qu’est l’état de cétose. Et que ce dernier peut être atteint de 3 façons :

  • Par l’alimentation cétogène, soit consommer moins de 20g de glucides quotidiennement.

  • Ensuite par le jeûne prolongé.

  • Et finalement par la consommation de cétones exogènes. Qui semblerait être la meilleure option pour une personne végétarienne,

Au-delà de l’alimentation cétogène, nous avons parlé de prendre soin de consommer moins d’aliments inflammatoires, c’est-à-dire une alimentation plus naturelle, qui optimiserait la capacité à être céto-adapté

Nous avons abordé, l’importance des électrolytes pour la performance et l’avantage de consommer davantage de bons gras qui font diminuer naturellement la consommation de glucides.

Cet épisode a offert une nouvelle perspective sur l’importance de la nutrition dans l’optimisation des performances et de la qualité de vie des coureurs. L’histoire de Jacynthe est un exemple puissant de la manière dont un régime alimentaire réfléchi peut transformer non seulement les résultats en course, mais aussi le bien-être général.

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La plug de Jacynthe ➤ Parc run – https://www.parkrun.ca/

📖 Autres références—➤ Club Côté Course – https://www.facebook.com/groups/1293777038005491

➤ Cardio Plein Air – https://cardiopleinair.ca/

➤ Formation Axis – https://formationaxis.ca/

➤ Valérie Dusseault (Nutritionniste)  – https://valeriedussault.com/

➤ Mick Carrier (coach) – https://www.facebook.com/MickCarrierBalance/?locale=fr_CA

🎧 Pour écouter en version audio, balado, podcast, YouTube ➤ https://coureur.io/link/61

📝 Notes complètes de l’épisode ➤ https://coureur.io/61